(Juillet 1866.) Je connaissais vaguement, par les journaux et aussi par nos amis communs—qui avaient autant de répugnance à parler que moi à interroger,—l'affreux malheur dont la vie de Lucien Thibaut était accablée. Jamais il ne m'en avait entretenu lui-même dans ses lettres, quoiqu'il m'écrivît assez souvent.
(Juillet 1866.) Je connaissais vaguement, par les journaux et aussi par nos amis communs—qui avaient autant de répugnance à parler que moi à interroger,—l'affreux malheur dont la vie de Lucien Thibaut était accablée. Jamais il ne m'en avait entretenu lui-même dans ses lettres, quoiqu'il m'écrivît assez souvent.