Depuis la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, des vagues migratoires successives touchent tous les pays d’Europe occidentale.
Pour en mesurer l’impact, tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi-totalité des pays de l’Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires.
Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : En matière migratoire, les responsables politiques européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur permettent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu’elles conduisent, partout, à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.
D’ici la moitié de ce siècle, il est plus que probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l’Inde à l’Inde… Mais, au rythme auquel elle change, l’Europe ne pourra plus ressembler à ce qu’elle a été il y a encore quelques décennies. Douglas Murray pose donc la question : Faut-il faire de l’Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue du « bien commun » ?
Depuis la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, des vagues migratoires successives touchent tous les pays d’Europe occidentale.
Pour en mesurer l’impact, tant démographique que culturel, Douglas Murray a voyagé pendant deux ans dans la quasi-totalité des pays de l’Union. De Malmö à Lampedusa et de Londres aux îles grecques, il a rencontré et interrogé migrants, policiers, juges, médecins, responsables politiques et humanitaires.
Non seulement le continent change à grande vitesse mais Murray constate partout le même phénomène : En matière migratoire, les responsables politiques européens préfèrent toujours les positions généreuses, compatissantes et ouvertes car elles leur permettent des bénéfices médiatiques immédiats. Ils savent bien pourtant qu’elles conduisent, partout, à des problèmes nationaux à long terme. Et comme Murray a pu le constater, ces problèmes commencent à se voir dangereusement.
D’ici la moitié de ce siècle, il est plus que probable que la Chine ressemblera encore à la Chine, l’Inde à l’Inde… Mais, au rythme auquel elle change, l’Europe ne pourra plus ressembler à ce qu’elle a été il y a encore quelques décennies. Douglas Murray pose donc la question : Faut-il faire de l’Europe le seul endroit au monde qui appartienne à tout le monde ? Est-ce la volonté des Peuples et est-ce raisonnable du point de vue du « bien commun » ?